Escaliers! Nan mais nan pas là!

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Les cours s'étaient terminés dans une tumulte sans égales. Les élèves avaient tous foncé dans les couloirs pour se rendre soit dans le parc ou bien dans leur salle commune respective... Anne quant à elle avait traîné à la fin du cours de Vesper et était sortie en dernière. Le couloirs qui donnait sur la salle était désormais désert, on entendait au loin les cris et les rires des élèves qui visblement étaient heureux d'avoir fini leur journée. Anne passa son sac en boudouillère au tour de sa taille et commença àse diriger non pas vers sa salle commune mais plutôt vers le parc.

Elle devait avant la fin du jour chercher en vitesse une plante sauvage qui n'était qu'aux abords du Lac,côté est.

Avançant d'un pas rapide, elle défis sa longue chevelure noire qu'elle avait attaché en chignon une bonne partie de l'après midi, à l'aide de sa baguette, dangereux dirait certain mais bon.

Passant une main dans ses cheveux elle regardait vaguement les tableaux qui à vrai dire ne lui prêtait pas grande attention, en général peu de monde lui prettait attention, mais après sept année Anne avait pris une certaine habitude.

Elle approcha d'un escalier et se positionna dessus, il commença à exercer son balai et bougea dans une sorte de grand fracas comme si d'un instant à l'autre il allait lâcher et dévaler les étages un à un mais il était solide, enfin elle l'espérait, on dira que cela faisait partie du folklore de l'école.

Elle était appuyée contre la rembarde et regardait toujours dans le viee, sans aucun sourire sur le visage, ni aucunes autres expressions.

Un après midi comme les autres..; une semaine banale et un week end pas folichon. La routine quoi . Samedi après midi.. les élèves qui n'étaient pas à Pré au Lard occupaient leur temps comme ils pouvaient dans le château. Certains faisaient leur devoirs, d'autres lisaient ou jouaient aux échecs.. d'autres traîneaient dans les couloirs. C'était le cas de Lysandre.

La jeune fille marchait donc dans les couloirs.. ces couloirs sombres, réputés être l'antre des Serpentards. Selon la "légende" peu d'élèves s'y aventuraient sous peine de croiser des "méchants serpentards" et de se faire une fois de plus humilier. C'était le cadet des soucis de Lys' et elle s'y était risquée cet après midi là. Elle n'y avait même pas pensé.

Ce jour là, elle avait décidé de coiffer ses cheveux à la manière d'une famuse actrice moldue qu'elle aimait beaucoup, symbole de la fraîcheur et du romantisme : Audrey Hepburn. Les cheveux châtains et mi longs de la brunettes étaient relevés en un chignon assez particulier. C'était son petit "jeu".

[désolée c'est pas super ..]

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L'escalier qui n'en faisait qu'à sa tête décida de lui faire prendre un détour pour rejoindre le parc et franchement Anne s'en serait bien passé, pourquoi s'amuser à la faire passer par d'autres chemins alors qu'elle ne demandait qu'à rejoindre le plus rapidement l'endroit qu'elle voulait atteindre mais bon ces esclaiers étaient spéciaux comme certains êtres vivants. Mais c'est une autre histoire.

Elle rejoignit donc le couloir que Monsieur l'Escalier avait décidé de lui faire prendre. Elle marcha d'un pas soudain devenu énergique et se mit presque à courrir, non elle vous rassure rien ne la pourquivait elle avait juste envie d'être le plus vite possible au parc, de ramasser cette plante et de retourner bricoler sa potion.

Bien ^sur aller savoir pourquoi mais au fil des détours elle se retrouva à nouveau dans le couloirs froid et sombre qui menait à sa salle commune, elle passa une main dans ses cheveux et soupira bruyemment, franchement c'est du grand n'importe quoi.

Elle se mit, cette fois-ci pour de bon à courrir car là elle en avait assez. Tournant assez sec au bout du couloirs, elle ne vit pas la personne ne face d'elle et l'impact au final fut assez violent.

Anne fut propulser au sol et attérit sur ses fesses, ahhh heureusement qu'il y avait un peu de rambourage. Elle cru pendant un instant voir une tripoter de Vif d'Or défiler devant osn regard et mis un pett temps à revoir le plafond. Elle resta là allonger à le regarder un moment.

La jeune fille se balladait donc tranquillement, ne prêtant pas attention aux autres personnes qui étaient également dans les parages.Elle arpentait les couloirs, pensant à des choses et à d'autres.

Alors, une deuxième étudiante apparut, mais, trop absorbée , s'étant laissant emportée dans son monde, elle ne la vit pas à temps et le choc fut inévitable. Relativement violent, pas excessivement, mais assez pour que les deux demoiselles se retrouvent sur les fesses..un peu sonnées.

Des deux, ce fut Lysandre qui reprit ses esprits la première. Elle se releva et tendit la main à sa condisciple et demanda d'un ton aimable.

-ça va ?

Très sincèrement, elle ne l'avait pas vue arriver.. ni l'une ni l'autre en toute honnêté , ne pouvait vraiment dire laquelle avait percuté l'autre.

Après quelques secondes de silence, Lysandre observa la jeune fille..elle portait sa robe d'uniforme. Visiblement elle appartenait à la maison des vert et argent.. son écusson le prouvait.

Cette fille ne lui disait rien. Il ne semblait pas qu'elles se soient déja rencontrées. Enfin, croisées, car l'amitié entre Serpentard et Gryffondor était une utopie..peut-être était-elle nouvelle ? Ou d'une autre année ? Comme elles ne se connaissaient pas, elle se présenta ..comme en principe l'indiquait l'usage.

-Je m'appelle Lysandre..Lysandre Whiteoak . Et toi ?

Comment allait-elle réagir ? Se montrerait-elle hostile comme la plupart des autres à l'égard des autres, et plus particulièrement des gryffondors ?

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Lorsqu'elle remarqua une main devant ses yeux, une main qui lui proposait de l'aide pour se relever Anne la saisit et tout en remontant, elle lâcha un...

Mouai, mouai...

Pour la présentation de la jeune fille. Pas qu'elle s'en fichait mais bon voilà, dans un sens. Elle leva alors les yeux vers elle se disant que son "Mouai, mouai!" n'était pas vraiment top pour un début de présentation.

Anne Tylers...

Elle lui serra la main, oui Anne s'était la pro de serrage de main, parceque voilà Anne était solitaire et les embrassade c'était pas son truc, elle aimait pas ça, et puis une poignée de main voilà c'est impersonnelle et ça n'implique à rien, on se présente on sourit deux, trois fois et voilà rien de plus.

Elle remit en place ses cheveux et surtout ça baguette qui sous le choc avait volé un peu plus loin. Elle reforma son chignon et y replanta la baguette en son centre. Oui ben quoi elle se fichait bien de se que les autres pouvaient penser.