Un petit tour et puis s'en va, attention Serpy mordant!

C'est repartie pour un tour, une nouvelle année en vue, et encore quelques pas et la sortie serait bientôt proche et Anne pourrait enfin évoluer dans le monde sorcier librement.

Elle marchait tranquillement dans le Hall de l'école attendant Mégane. Oui elles avaient toutes les deux posé leurs affaires dans leurs dortoirs mais Anne s'était de suite empressé de partir à la découverte ou plutôt redécouverte de l'école. Une chose qu'elle aimait à Poudlard c'était la batisse en elle même.

Oui elle trouvait le coin splendide le seul hic était que l'école était peuplée de Sang de Bourbe et d'idiot de Gryffondor. Forcement cela enlevait un peu de charme aux lieux et donnait encore plus par moment envie à Anne de terminer ses études et de pouvoir être enfin libre d'être comme elle est.

Main dans les poches de son jeans elle marchait lentement mettanbt un pieds devant l'autre et fixant le sol. Mais que poyuvait donc faire Mégane à ce rythme elle arriverai à prendre racine, mais bon Anne l'attendrai des heures si il le fallait. Son ami de toujours, sa soeur de coeur.

En plus elles avaient passé l'été ensemble à traumatiser et à faire la fête. Que de bon souvenir au final.

Perdue dans ses pensées, repensant aux vacances, elle entendu soudainement un petit bruit qui lui indiqua la venue d'une personne. Faisant demi tour en pivotant lentement sur une jambe elle eut le temps de se demander...

*J'espère que c'est elle je meurt de faim!*

Ne trouvant personne à qui parler Auguste se balladait dans le rez de chaussée. Il appréciait grandement ces ballades en solitaire, mais son point de vue changeait. Il avait de parler à quelqu'un, simplement sur qu'aucun soucis vienne le déranger. Mais ce genre de personne ne courrait pas les couloirs. Continuant à se ballader, il admirait le paysage, toujours aussi grandiose et impressionant. Auguste se croyait presque dans un rêve ...

Mais la réalité le rattrapa, il était presque l'heure de manger, son estomac commencer à crier famine. Donc pas rapide il se dirigeait dans les couloirs, il faisait à peine attention aux passant quand il aperçut, un serpentard.

* Je n'ai de chance aujourd'hui .... Quoi que ... Allez je tente ma chance ! *

Progressivement il ralentit son pas et s'approcha de cette jeune femme, doucement il l'aborda ... A sa manière.

" Tiens, qu'elle rencontre surprenante, une serpentard toute seule. Comment se fait qu'il que vous soyez seule ? Avez vous besoin de compagnie ? "

* J'ai bien négocier, je commence à maitriser l'abordage des filles, c'est bien ...*

Auguste attendait une réponse, bien il ne s'attendait pas un sourire franc, mais peut être à une discution symapthique ...

Forcement sa Blonde adorée avait en générale toujours trois Poudlard Express de retard, donc Mégane était loin d'avoir fini de déballer ses petites affaires, autant de culottes voyons^^

Alors lorsqu'elle posa les yeux sur la personne qui venait juste de lui parlait, elle se retiont de lâcher un énorme "QUOI?!?".

Elle se tourna d'abord dans un premier temps pour s'assurer que c'était bien à elle et pas à une autre qu'il demandait si elle avait besoin de compagnie.

Ben oui c'était bien elle, mais voyons, il vait ouvert ses petits n'oeils lui. Il voyait pas l'insigne Serpentard qu'elle affichait fièrement. Et si il l'avait vue il était suicidaire de venir lui parler comme si Serpentard rimait avec gentille petit ... Blurp!

Nan, il devait être aveugle et puis en plus qu'est se qu'il avait à la regardait avec un sourire aussi niaise, nan mais ohhh beurkkk, Anne ne souriait pas à tout va aussi facilement, alors c'est pas al peine de la regarder ainsi.

Décidant au bout d'un petit moment d'ouvrir la bouche pour parler, elle secoua brièvement la tête comme pour sortir de sa réflexion et enchaîna.

Compagnie! Moi?!?

Est se que j'ai l'air d'une fille desespérée au point de réclamer la compagnie du premier venue?!?

Un ton froid, des paroles neutres, un regard distant. Bonjours Anne tylers à votre Service, Serpentard dans l'âme et solitaire en action.

Auguste n'en attendait pas moins de la part d'une Sepentard. Aussi qu'elle idée d'aborder une personne dont on sait qu'elle ne va répondre négativement. Enfin bref Auguste n'allait pas fuir ce coup-ci, car déjà l'expérience qu'il allait "subir" serait un entraînemet intéressant, et de plus il n'allait pas fuir face à l'adversité. D'un ton agréable et dénué de sous entendu mielleu il recommança de plus belle ...

- Quand je parlais de compagnie, ce n'était pas pour vous offenser. Je cherche juste à parler, simplement. Je suppose que vous attendez quelqu'un d'autre ? Je dis ça car ma présence vous a surpris.

Auguste se dirigea à l'opposer du couloir et s'appuya contre le mur, il n'avait pas l'intention de se rapprocher plus, sinon son comportement serai considérer comme louche, et il préférait garder ses distances. Patiement il attendait la réponse de la serpentard ...

Sa présence ne l'avait pas surpris, Anne n'était pas le genre de personne a sursauter à l'écho d'un pas ou d'un bruit quelconque. Se qui l'étonnait c'était surtout le fait que ce Serdaigle lui parlait comme si de rien n'était.

Franchement les jeunes de nos jours. Mais bon Anne n'y pouvait rien. ALors elle reprit sa petite promenade en attendant sa blonde adorée. oui sa blonde, ahhh elles avaient passé un magnifique été, pas mal de choses c'étaient passées. De nouvelles expériences. Mais pourquoi repenssait-elle à ça! Perdue à nouveaux dans ses pensées elle secoua la tête rapidemment comme pour oublier ce à quoi elle pensait.

Sur le coup elle oublia totalement le Serdaigle et sa pseudo question, sortant alors soudain de tout ceci elle ressentit à nouveau son regard posé sur elle.

Ahhh oui si je suis là c'est bien que j'attends quelqu'un.

Je ne fais pas un piquet de grève parceque les repas sont immondes ici!

Elle leva un souricl et s'arrêta et l'observa un moment posant une de ses mains sur sa hanche.

Elle se demandait pourquoi il la regardait ainsi et pourquoi il s'obstinait à lui parler. Franchement elle aura tout vu ici.

* Toujours aussi aimable ces Serpentards ... Comment je vais me dépétrer de cette situation ... *

Voyant que la jeune femme n'était pas apte à coopérer, Auguste réfléchit quelques minutes. Tout en regardant la personne, il réfléchissait. Sentant qu'il faisait un peu tâche dans cette situation, il commença à se diriger vers le réfectoire. Cette personne n'était pas enclin à discuter avec un serdaigle. Déçu et agacé de ces personnes qui ne le comprenne pas Auguste d'un air froid, en passant devant la serpentard, échangea un regard vide. Dos à elle il dit une dernière phrase :

- Ma compagnie vous est désagréable, je le conçois. Tant pis comme disait mon père, qui ne tente rien n'a rien ... Je vous laisse, j'ai compris votre message. Sachez que vous êtes digne d'être une serpentard, les autres que j'ai rencontré auparavant, n'ont même pas pris l'envie de me parler. Je ne préfère pas devenir désagréable vis à vis de vous. Merci de cette entrevue mademoiselle Tylers ...

Partant dans la direction du réfectoire, Auguste lui esquissa un léger sourire. Il ne préfèrait pas rester de peur d'être assalli par d'autre Serpentard, il ne voulait pas qui cette serpentard souffre de cette entrevue et que sa chambre lui fasse un "procès" là dessus. Tranquilement il sortit sa balle et la fit renbondir sur le sol, petit à petit le son s'atténuait ...

Nan mais ohhhhh! Se retournant elle commença à le suivre d'un pas determiné.

Heyyyy! Toi!

Elle se posta et attendait qu'il se retourne. Une fois la chose faite, elle l'observa de haut en bas, voilà un pigeon qui n'avait pas peur de dire se qu'il pensait courageux certes mais il devait se mettre en tête qu'ici à Poudlard on représentait sa maisone t que coûte que coûte il n'y avait pas de raison à être aimable avec un autre membre en tant que Serpentard, même si tout avait changé depuis... Bref n'en parlons pas.

J'aimerai bien déjà...

Elle leva son index et le remua.

Que tu arrêtes de me dire VOUS!

Il me semble que nous avons le même âge ou une ou deux années d'écarts mais franchement je ne suis pas Mac Gonagall ou un autre de ses Professeurs dont on ose même pas prononcer l'âge, alors tu me tutoie, on est à Poudlard pas dans une de ces écoles françaises!

Elle le regarda et l'interrogea du regard pour savoir si son premièrement était compris.

Secondo, j'aimerai te dire, que OUI je ne suis pas des plus agréable mais que veux tu je viens d'une maison et d'une famille ou la froideur et la distance sont de mise.

De plus je le suis même envers mes camarades, ma confiance et ma gentillesse sont en générale dur à acquérir.

Alors ne me juge pas trop vite, je n'ai fait qu'être réaliste et répondre à tes questions pas la peine de sourir à tout va, je déteste l'hypocrisie alors si je n'ai pas envie de sourire je ne souris pas!

Elle posa ses mains sur ses hanches et l'observa un instant et au bout de quelques secondes déclara.

Et de plus je déteste que l'on me tourne le dos.

Auguste d'un pas calme commençait à repartir. Quand, de façon innatendue la serpentard le rappela à l'ordre. Surpris, c'est les yeux grand ouvert et à moitié qu'il écouta sans rien dire. A sa façon la serpentard démontra à Auguste qu'elle recherchait à nouer un contact. C'est surpris qu'Auguste commença à répondre ...

_ Pardonnez ... euh, Pardonnes tout d'abord ma façon de parler. C'est une façon pour moi d'aborder les gens, sans qu'il y ait de litiges. Excuse moi Anne ... C'est bien ton prénom au moins ? J'espère ne mettre trompé ...

Après avoir dit cela Auguste s'adossa contre le mur, tout en lançant sa balle contre le mur, il regardait la jeune femme. Son regard était sérieux et en disait long sur ça détermination. Il voulait comprendre cette personne.

- Je ne t'ai pas jugé, je croyais simplement que ma présence te dérangeais, donc j'ai préféré te laisser. Et de plus tu attendais quelqu'un d'autre, surment un serpentard qui plus est, et vu que vous n'aimez pas les personnes qui ont des origines moldus, je ne préférais pas t'infliger cette humiliation. Excuse moi de t'avoir heurté ...

Auguste était content d'avoir enfin trouvé quelqu'un de franc et de direct. Il espérait en son fort intérieur que rien ne viendrais troubler cette discution, et que celle-ci allait continuer sans soucis, et sans d'autres erreurs de sa part ... Il repensa qu'elle attendait quelqu'un et repris une dernière fois la parole ...

- Au fait tu attendais qui ? Une personne de ta chambre ?

La personne que j'attends ne regarde que moi, tu n'as pas à le savoir même si se n'est pas une affaire d'Etat j'ai horreur de devoir me justifier.

Elle el regarda puis soupira bruyemment, elle n'avait pas plus envie que ça de faire connaissance mais elle avait horreur qu'on la juge au premier regard. Bon c'est vrai elle était serpentarde et fière de l'être, oui elle n'aimait pas beaucoup les Sang de Bourbes mais elle faisait avec, mais elle n'aimait pas qu'on catalogue de suite les gens.

Alors elle décida de ne pas être trop Agressive avec ce pigeon, du moins pour l'instant car elle n'était pas un ange et savait aussi profiter des situations. Double personnalité.

Bref et toi tu fais quoi à déambuler dans les couloirs, questionner les Serpentard est un passe temps pour toi ou bien tu trouve cela distrayant?!?

Auguste venait encore une fois de subir la froideur de la serpentard. Ne comprenant pas pourquoi cette agréssivité soudaine, il réfléchit quelques minutes à la question qu'elle venait de lui poser. Ayant trouvé une réponse juste à ces propos, il se tourna vers la demoiselle et souria gentiment :

- Oui je prends du plaisir à discuter avec les gens dans les couloirs. Ce ne sont pas que des Serpentards, tout à droit au même traitement. Mais il est vrai que j'ai une préférence pour les serpentards ; leurs inacessibilités les rends plus difficile à approcher, et donc je m'intéresse d'autant plus à eux. Je fais cela par pure curiosité. C'est pour cela que je te posais cette question.

Ensuite il répondit à une attaque de la serpentard sur un ton gentil comme à son habitude ...

- Si je t'ai demandé qui tu attendais, c'était par simple curiosité, je ne te fais pas de questionnaire, je cherche juste à te connaitre Anne ...

Voyant le temps passé, et donc le repas s'éloigner petit à petit de lui, il essaya d'emmener la serpentard manger un morceau quelque part ...

- Le temps passe vite dit moi, ça te dirait de manger un morceau avec moi, histoire de faire mieux connaissance ... A moins que tu préfères attendre cette fameuse personne ? Je te laisse le choix, (sourire) dans tous les cas je reste !

Il attendait la réponse de Anne, sachant qu'avec ces deux personnalités elle pouvait blanc comme noir ...

Mais qu'il était étrange ce garçon à vouloir absolument la connaitre et essayer de percer la fille qu'elle était, personne n'y était arrivée. Anne ne disait jamais se qu'elle pensait par peur d'être déçue, la seule qui pouvait se venter de la connaître était Mégane.

Oui Mégane avec qui elle n'avait jamais hésité, non jamais. Alors lorsqu'il lui posa lle dileme elle le regarda un bon petit moment sans rien dire.

Elle se fichait pas mal qu'on la voie avec une personne d'une autre maison, elle était libre de ses actes mais voilà c'était une solitaire et de plus une Serpentarde.

Hésitant et réfléchissant un bon moment elle se laissa convaincre.

De toute manière je vais aller me chercher un bout à grignoter encuisine, les Elfes se feront une joie de servir quelqu'un. Elle commençaà avancer mais ne regarda pas de suite si oui ou non le Pigeon la suivait.

Ne se tournant pas elle déclara d'une voix neutre, dépourvu de tout sentiment.

Tu peux venir mais ne crois pas que je parlerai de moi comme font la plus part des filles ici, je ne suis pas une grande piplette quant je n'ai pas envie.

Effectivement si il voulait vraiment la connaitre il devrait être avant tout patient.

Malgré toutes les rétisances qu'elle affichait, Anne accepta la proposition d'Auguste. Cet accord lui fit esquisser un léger sourire que la serpentard n'avait pas aperçut. La serpentard commençait à s'éloigner, Auguste la rattrapa calmement, et il se mit à la même alure qu'elle, il laissait un espace suffisant entre eux pour ne pas la géner. Durant le chemin vers le réfectoire, le serdaigle regardait le paysage.

Il pleuvait, le temps n'était réjouissant, cela lui rappelait les moments de solitudes et de souffrances qu'il avait vécu ; le serdaigle allait essayer de se confier à la serpentard, peut être en fera-t-elle autant ...

- Tu as vu ? Le temps n'est pas réjouissant ... Tiens je voudrais savoir, en regardant ce temps, quels mot te vient à l'esprit ?

Il ne cherchait pas à comprendre Anne en disant ça, il voulait simplement détendre l'atmosphère pesante qui régnait entre eux.

- Moi ... je dirais, Solitude. Toi tu aimes peut être resté seule, je ne sais pas vraiment, mais moi je le suis resté trop longtemps. C'est pour cela que j'aborde les gens dans les couloirs, c'est pour moins me sentir seul. Je pense d'abord à moi, c'est égoïste comme sentiment, mais ... je me sents soulagé de parlé à quelqu'un d'autre !

En finissant sa phrase le serdaigle émit un léger soupir de soulagement. Il venait de se confier à cette fille, dans tous les cas Auguste était soulagé de l'avoir fait. Surement qu'en tant que Serpentard elle s'en moquait, mais ça ne changerai pas le sentiment qu'avait Auguste, il était soulagé.

Certes il n'avait pas tout dit sur lui ; il fallait gardé une part de mystère. Il jetta un regard rempli de tristesse en regardant cette pluie, elle tombait comme pendant ce jour, ce jour qui changea sa vie définitivement. Sans que la jeune demoiselle voit ce regard, il reprit ses esprits et la regarda de nouveau, il souriait à peine, il lança à Anne un regard voulant dire " et toi ?" ...

Il lui demanda quel mot lui venait à l'esprit, au moment où elle voulu lui répçondre, il enchaina et commença à parler. Elle ne l'interrompu pas, oui Serpentard peut être mais polie tout de même.

Elle l'écouta attentitvement et sourit à plusieurs reprises non parcequ'elle se moquait de lui, étrangement parcequ'elle comprenait parfaitement ses réactions et sa trecherche d'affection.

Une fois qu'il eut terminer de parler elle commença d'une voix douce et sereine.

Je ne pense pas que ta réaction soit égoiste, il faut qu'on arrête de dire que penser à soi est égoiste.

Après tout dans la vie il faut penser à soi un minimum pour y arriver et puis après tout si trouver de la compagnie peut t'aider à avancer pourquoi pas.

Mais il ne faut pas croire que cette réaction est égoiste de ta part.

Elle continuait d'avancer sans le regarder, elle jeyttait des coups d'oeil aux tableaux qui s'animaient à leur passage et de temps à autres regardait également la pluie qui tombait drue dehors.

Mais pour en revenir à ta pluie, je vais te dire à quoi elle me fait penser.

Grandeur et sérénité.

Ces mots étaient étrange mais elle allait exprimer son point de vue.

J'adooore la pluie et ne la trouve pas du tout déprimante.

Je trouve qu'écouter la pluie tomber est d'un calme, ce la me repose.

Et puis cela évoque la grandeur pour moi parceque ej ne sais pas lorsque je suis sous la pluie que je la sens m'envahir je me sens seule au monde et grande...

Elle se mit à rire, elle divaguait mais s'en fichait.

Bref, la pluie c'est tout sauf déprimant, nan.

Auguste rigola légérement. Ce n'était pas à cause du point de vue de Anne, mais à l'opposition de leurs points de vue. Il ne pensait pas que la serpentard était comme cela. Il était encore une fois agréablement surpris par cette jeune femme. Il ne croyait pas qu'elle allait réagir de cette façon. Il essaya de continuer la conversation ...

- C'est moi où tu es toujours aussi surprenante ? Je ne pensais pas que l'on pouvait avoir ce point de vue, il est intéressant de penser à cela. En tout tu n'as pas en avoir honte Anne ...

Puis il repensa à ce qu'elle avait pensé de son égoïsme ...

- Tu as peut être raison, je pense souvent aux autres, mais rarement à moi. Peut être faudrait il que je change ... Je ne sais pas. Je ne peux pas savoir ce que pense les gens de moi (sourire) mais peut être en étant plus égoiste je trouverais une petite amie ...

Il souriait naïvement à ce qu'il venait de dire, il n'avait jamais penser à lui avant les autres ; il pensait que l'égoïsme n'était pas réellement lier à la pensée de soi. A vrai dire Anne venait de mettre le doute en Auguste ...

- Sinon je voudrais savoir, toi qu'est ce qui t'aide à avancer quand tu es déprimer, à mon avis ce ne doit pas être la même chose que toi (sourire) ...

Les deux élèves avancèrent dans les couloirs tout en discutant, en attendant la réponse de la serpentard, le serdaigle réfléchissait à sa remarque intéressante.

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